Conseils - Ostéopathe Aix-en-Provence

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18/Avr/2018

Depuis la mise en place des 11 vaccins obligatoires au lieu des 3 initiaux (Diphtérie, Tétanos et Poliomyélite), ceux-ci sont devenus un sujet de polémique nettement plus étendu qu’auparavant. Chacun semble avoir un avis tranché, souvent sans réelle connaissance du sujet.
Dans ce cafouillage médiatique, que savons nous vraiment ?
D’où nous vient cette méfiance?

Composition d’un vaccin

On distingue deux types de vaccins:

  • Les vaccins vivants atténués: ils contiennent un agent infectieux vivant atténué par différents procédés chimiques (ROR, fièvre jaune…).
  • Les vaccins inactivés: ils contiennent un agent infectieux inactivé par un produit chimique ou de la chaleur. Bien qu’apparemment inoffensifs, ils sont capables de susciter chez le patient une réponse immunitaire (DTCP, Hep A et B, haemophilus influenza B, pneumocoque, grippe, méningite à méningocoques…).

En plus des agents infectieux, le vaccin contient également des conservateurs, des stabilisants et des antibiotiques.
Enfin, certains d’entre eux sont également composés d’adjuvants dont le rôle est de stimuler la réponse immunitaire à la vaccination; c’est pour cette raison que nous retrouvons parfois de l’aluminium dans les vaccins.  Les vaccins vivants atténués ne contiennent pas d’adjuvant.

Que suspecte-t-on?

Les suspicions sont nombreuses dans ce domaine:

  • Le vaccin ROR favoriserait l’autisme.
  • Le vaccin contre l’hépatite B provoquerait la sclérose en plaque.
  • L’aluminium, dans son rôle d’adjuvant, induirait des réactions locales graves (myofascite…), des maladies inhérentes aux neurones ou un retard du développement mental de l’enfant.

Le problème généré par ces suspicions concerne des cas particuliers, non majoritaires. Il est donc très difficile de les relier de manière scientifique au vaccin, même si les symptômes de ces maladies apparaissent immédiatement après la vaccination.
Il est donc très probable que dans le cas où les vaccins entraîneraient des complications, beaucoup d’entre elles pourraient passer pour des troubles ou pathologies survenus de manière fortuite.
Donc, sans réelle étude de masse (naturellement indépendante des laboratoires commercialisant les vaccins), nous ne pouvons scientifiquement déterminer la possibilité d’effets secondaires des vaccins, ni leur fréquence réelle.

L’aluminium au centre des débats

Ce que l’on sait médicalement

L’aluminium est un métal toxique lorsqu’il est présent dans le sang en grande quantité. Les laboratoires d’analyses médicales estiment que dans le sérum sanguin:
(les valeurs sont en microgrammes/ L)

  • Entre 1 et 5 : taux normal.
  • 10 : limite supérieure normale.
  • 15 : taux maximal admissible.
  • A partir de 60 : taux à partir duquel les fonctions supérieures sont altérées (troubles neurocognitifs et psychomoteurs).
  • A partir de 150 : taux au-delà duquel peut apparaître une encéphalopathie (démence progressive, dégénérescence du système nerveux central).

Il peut aussi être dosé dans le plasma.
La toxicité de l’aluminium est donc totalement admise dans le milieu médical. Il est aussi vérifié qu’il s’élimine essentiellement par les reins (sauf lorsqu’il est ingéré) et qu’une insuffisance rénale peut entraîner un stockage des particules d’aluminium dans le corps.
Les malades atteints d’Alzheimer montrent un taux d’aluminium au niveau cérébral 20 fois supérieur à la normale. On retrouve le même phénomène dans des régions  possédant un taux élevé de maladie de Parkinson et de SLA (Sclérose Latérale Amyotrophique).
L’aluminium s’attaque également aux astrocytes qui sont des cellules nourricières cérébrales. Ces particules se lient à hauteur de 60% à la transferrine qui a pour fonction de transporter le fer. Il peut donc entraîner une anémie.
Il est prouvé que dans certains cas, la réaction du corps à la présence de l’aluminium entraîne une myofascite à macrophages (symptômes musculaires locaux sur la zone de la piqûre associés au syndrome de fatigue chronique).
Enfin, les prématurés sont particulièrement sensibles à l’aluminium, certainement à cause de l’immaturité de leur système immunitaire. En excès, celui-ci entraîne une altération du développement psychologique de l’enfant.

L’aluminium dans les vaccins

Hors ROR, la plupart des vaccins disponibles en France (obligatoires ou conseillés) en contiennent sous 2 formes: essentiellement de l’hydroxyde d’aluminium et plus rarement du phosphate d’aluminium.
Les quantités injectées sont considérables:
Exemple de l’infanrix hexa (Traitement de 8 maladies dans le même vaccin obligatoire depuis peu): 820 microgrammes par litre soit pour un nourrisson de deux mois (âge de la première injection) 827 fois la dose normale pour lui, ou de manière plus explicite 33 fois la dose susceptible de lui provoquer une encéphalite si elle est présente dans son sérum.
Plus l’âge avance, plus ces chiffres diminuent mais ils restent au dessus des taux extrêmement nocifs. Et nous ne parlons que d’une seule injection, il ne faut pas oublier les injections complémentaires ainsi que les autres vaccins obligatoires à venir.
Heureusement, l’intégralité de l’aluminium ne pénètre pas dans le plasma sanguin sinon les drames à répétition auraient obligé les autorités de santé à réagir.
Une étude récente conduite par l’agence nationale de sécurité du médicament met en évidence que ce n’est pas la dose d’aluminium qui en fait un poison. Même à petite dose, il peut provoquer un stockage dans  les muscles et s’avérer toxique. Cette avancée permet donc de supposer que sa dangerosité serait à étudier au cas par cas, et que les réactions possibles ne se limitent pas aux jours suivant la prise.
Il ne faut cependant pas oublier que le vaccin n’est pas la seule source d’intoxication à l’aluminium. L’alimentation (il sera alors éliminé par les selles), l’air qui peut être également pollué, les déodorants ou autres produits cosmétiques…
Même l’OMS (organisation mondiale de santé) déclare que « l’innocuité des adjuvants est un domaine important et négligé » sans pour autant agir pour mettre fin au manque d’informations et d’études scientifiques valables.

Quelques faits

Pénurie du DTP

Il y a quelques années, il était très difficile de trouver le vaccin uniquement pour les maladies obligatoires en France. La plupart des pharmacies ne proposait que les combinés, obligeant ainsi certains parents à vacciner abusivement leurs enfants et non pas selon leurs convictions.
Il est souvent arrivé que le seul vaccin accessible soit l’infanrix hexa (contenant le maximum de maladies pour cet âge). Plus cher car plus complet, il enlevait le choix de ne pas vacciner son enfant contre l’hépatite B notamment.
De plus, le DTP sans aluminium (adjuvant à base de sodium) a été progressivement retiré du marché. Les laboratoires ont déclaré que l’aluminium était plus efficace mais aucune étude n’a été présentée dans ce sens.

On ne s’adapte pas toujours au patient

Certains pédiatres ou médecins ne prennent pas suffisamment en considération l’état de l’enfant ou de l’adulte qui vient se faire vacciner. Il a été prouvé que les prématurés sont plus sensibles à l’aluminium. Ils ne bénéficient pas pour autant d’un calendrier vaccinal adapté à l’immaturité de leur système immunitaire. De même, hormis la fièvre, l’état général de l’enfant ou de l’adulte n’est pas toujours pris en compte, pas plus que les faiblesses rénales. Pensez donc si c’est le cas à en parler à votre médecin s’il ne vous connait pas bien.

Difficultés de relier les maladies aux vaccins

La difficulté de prouver que la maladie découle du vaccin est l’un des plus gros problèmes rencontré. Même si une personne en bonne santé développe une maladie le lendemain de sa vaccination, cela ne constituera pas une preuve suffisante. Trop peu de médecins prescrivent des recherches du taux d’aluminium dans le sang pour pouvoir établir un lien entre l’adjuvant du vaccin et la maladie. En réalité on ne sait pas vraiment comment déterminer de manière objective si c’est une voie de conséquence ou un hasard.
Devant ce dilemme, la cour de justice de l’union européenne a reconnu « qu’un lien entre la sclérose en plaque et le vaccin pour l’hépatite B ne pouvait être exclu » même s’il n’y a pas de réelles preuves scientifiques mais en s’appuyant sur un faisceau d’éléments concordants et d’indices graves.
L’étude qui permettrait de démontrer les réelles complications et les bénéfices d’un vaccin est donc très délicate à effectuer, mais elle serait pourtant importante et nécessaire. Sans cela, nous restons sur une polémique entre des cas isolés, qui pensent être malades à cause du vaccin, et des gens qui prônent la santé de tout un pays.
La pression engendrée par cette deuxième catégorie tend à masquer la responsabilité des laboratoires à prouver en amont l’inoffensivité de leurs vaccins ou médicaments, avant de les mettre sur le marché.

Aucune communication à propos d’autres adjuvants possibles

Les adjuvants à base d’aluminium ne sont pas les seuls existants, certains sont moins sujet à controverse, tels que ceux à base de sodium. L’omniprésence de l’aluminium ne s’explique officiellement que par la plus grande efficacité qu’on lui prête. Cependant, aucune étude scientifique fiable n’a été officiellement publié.

Et les études scientifiques… où en sont-elles?

Le réel problème se trouve ici. Aucune étude sur les vaccins ne fait réellement l’unanimité.
Celles faites par un organisme indépendant démontrent la plupart du temps des liens entre les vaccins et certaines maladies. Dans un second temps, les laboratoires prouvent les vices de forme de l’étude (soit une population trop petite ou trop ciblée, soit d’autres biais à conséquences). A leur tour, ils encadrent une étude tentant à prouver l’innocuité totale des vaccins, décrédibilisée également par manque de cadre scientifique .
Exemple récent: les études sur le vaccin contre le papillomavirus effectuées par deux laboratoires dont les placébos contenaient de l’aluminium au lieu d’être uniquement des doses de solution saline.
De même, aucune étude publiée ne prouve que l’aluminium est le seul adjuvant capable d’assurer une efficacité vaccinale optimale. D’autres adjuvants existent pourtant et ne sont pas réputés toxiques. La ministre de la santé à déclaré que « l’aluminium dans les vaccins était inoffensif » sans pour autant s’appuyer sur des études sérieuses qui confirmeraient ses propos alors que même l’OMS se questionne.
Devant cette absence d’études sérieuses auxquelles se référer, nous ne pouvons donc réellement conclure que les vaccins sont inoffensifs ou dangereux.
Récemment le rapport officiel  d’une commission italienne d’enquêtes parlementaires rendu public le 7 février 2018 à identifié un risque significatif de développement de cancers et de maladie auto-immune suite à l’administration de vaccins combinés et multi-doses. Cette enquête, qui a duré 18 ans est disponible ici.

Conclusion

Hormis les extrémistes des réseaux sociaux, les personnes « anti-vaccins » ne le sont en fait pas totalement. Devant le manque d’informations, elles refusent de vacciner obligatoirement leurs enfants pour 8 maladies de plus sans avoir d’avantage de garanties. A l’heure où l’on est capable de faire des études sérieuses et non intéressées dans tous les domaines, elles aimeraient pouvoir se baser sur plusieurs d’entre elles spécifiques aux vaccins.
Pourtant le but à terme pour les deux groupes (pro et anti-vaccin) est le même: éradiquer un maximum de maladies sans pour autant se mettre en danger. Le jour où des études le démontreront, il n’y aura alors plus de débat.

En cas de symptômes qui se déclareraient spontanément suite à une vaccination, n’hésitez pas à contacter votre médecin pour lui en parler.
Dans un second temps, un homéopathe ou ostéopathe pratiquant la détoxication homéopathique vous aidera à nettoyer votre corps des différentes « substances toxiques » stockées.
N’hésitez pas à me contacter pour trouver des thérapeutes compétents en détoxication homéopathique dans votre région.

 


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27/Sep/2017

Dès que l’on parle santé, on est très vite débordé par le nombre d’informations reçues et de changements à mettre en place. Tout est intoxiqué: le bio n’est pas forcément aussi bio qu’il paraît, les ondes sont peut être nocives mais on ne peut plus se passer des nouvelles technologies… Bref nous semblons condamnés.
Toutefois, ce n’est pas parce que la tâche semble insurmontable qu’elle l’est vraiment.  Chaque action, même petite, nous permet d’améliorer notre santé grâce à une meilleure protection contre les agents pathogènes.
Dans le même temps, le plus souvent, nous protégeons également la planète tout en faisant des économies, ce qui n’est pas négligeable.
Voila donc quelques outils simples pour agir au quotidien sur notre santé. Même si vous ne les utilisez pas tous simultanément, vous améliorerez votre qualité de vie à chaque étape…
N’hésitez pas à mettre un commentaire sur votre expérience personnelle car ce n’est qu’un bref aperçu des nombreuses possibilités qui s’offrent à vous.
Pour vous procurer la plupart des produits cités dans l’article, de nombreux magasins biologiques existent. Une liste est disponible en fin d’article.

1) La lessive

La plupart des lessives contiennent de nombreux agents chimiques que nous ne connaissons pas et que nous déversons allègrement dans notre circuit d’eaux usées.
Vous pouvez faire vous même votre lessive naturelle, qui sera tout aussi efficace, à l’aide de recettes basiques.
Exemple: Pour 3 L de lessive:

  • 60g de savon de Marseille en paillettes ou râpé
  • 60g de savon noir liquide
  • 3 cuillères à soupe rases de cristaux de soude

Faire bouillir le tout dans 3 L d’eau. Vous pouvez rajouter quelques gouttes d’huiles essentielles (de lavande, citron… ) pour parfumer.
Coût pour 3L de lessive: 1,5 euro.
Pensez à garder vos anciens bidons pour les réutiliser, à bien secouer la préparation avant chaque utilisation et à la mettre directement dans le tambour.
Au minimum 1 fois par mois, utilisez du vinaigre blanc comme adoucissant (encore des économies). Vous pouvez également ajouter 1 cuillère de percarbonate de sodium pour un effet blanchissant sur votre linge ou pour éliminer les taches difficiles.
De nombreuses autres méthodes existent et fonctionnent (autres recettes, à la cendre…). Renseignez vous auprès de forums si besoin, les adhérents sont souvent de très bon conseil.

2) Le produit lave vaisselle

De la même manière que pour le linge, des recettes plus naturelles existent.
Recette:

  • 🌳 400g de cristaux de soude
  • 🌳 100g d’acide citrique
  • 🌳 150g de sel fin

Mélangez le tout et mettez la poudre dans le compartiment. La quantité dépendra de la dureté de votre eau et de l’état de votre lave vaisselle.
En moyenne, un lavage vous coûtera 10 centimes (entre 2 à 10 fois moins cher que dans le commerce selon la marque).
Vous pouvez également rajouter du vinaigre blanc à la place du liquide de rinçage pour un rendu plus brillant, notamment au niveau des verres.
Pour le sel régénérant, mettez du gros sel blanc.
Plus économe et meilleur pour la nature… que demander de plus!

3) Le dentifrice

Le principal problème du dentifrice (hormis l’emballage) est le dioxyde de titane qu’il contient, également appelé TIO2, colorant E171 ou CI77891. Dans le dentifrice, il est utilisé pour ses propriétés blanchissantes. La plupart en contient mais aucune information n’est donné quant à sa quantité et à sa forme.
Pour lutter contre celui-ci, vérifiez la composition de votre dentifrice: certains, biologiques, solides ou non en sont dépourvus tout en étant aussi efficaces. Dans l’idéal, un dentifrice solide acheté sous forme de recharge permet en plus d’éviter le sur-emballage.
Au niveau du coût, un dentifrice solide vous reviendra sensiblement au même prix que votre dentifrice habituel (car il dure deux fois plus longtemps).

4) Le déodorant

Le titane, l’aluminium… de nombreux composés nocifs y sont présents et reconnus comme dangereux.
L’aisselle est une zone ou les nœuds lymphatiques sont nombreux et directement reliés à ceux du sein. De nombreuses études (ne comportant pas un panel de population suffisant pour faire changer les choses à plus grande échelle) ont associé le déodorant classique à différentes pathologies ganglionnaires voire tumorales (cancer du sein, problèmes de thyroïde…).
Les femmes semblent les plus touchées car les molécules sont souvent en contact direct avec la peau. Les hommes (souvent nettement moins épilés) en subissent un peu moins les effets.
De plus, la transpiration a un rôle important pour le corps de régulation de chaleur ainsi que d’élimination de toxines (bien que moindre par rapport aux organes responsables : foie, reins, poumons…). Empêcher le corps d’abaisser sa température contribue à créer un terrain favorable aux inflammations et perturbateur de la récupération. Il faut donc éviter les déodorants qui limitent la sudation.
Comme pour le dentifrice, il existe des produits naturels, fabriqués en France. La pierre d’alun ainsi que des déodorants solides complètement dépourvus d’aluminium restent efficaces sur les odeurs de transpirations.
Le cas de la pierre d’alun: Un débat existe concernant cette pierre car elle est composée d’aluminium et de potassium. Il faut faire surtout attention à bien choisir sa version naturelle car non reconstituée (Potassium alun et non ammonium alun sur l’étiquette). Certaines peaux sèches ne la supporteront pas car elle possède des propriétés asséchantes. Aucune étude n’a pu confirmer la non nocivité de l’aluminium présent dans la pierre d’alun naturelle. Il sera toujours moins toxique que dans les déodorants classiques car plus difficilement assimilable.
L’idéal reste donc un déodorant solide sans aucune trace d’aluminium.

5) La mousse à raser

Des savons naturels existent et sont très efficaces. Moins chers que les mousses et gels sur le marché, ils ne nécessitent pas d’emballage.
Contrairement aux idées reçues, ils sont même efficaces sur les barbes drues à poils durs.
Une bonne idée de cadeau pour la fête des pères et de surcroît dans le respect de la nature!

6) Le lait de vache

Ce que nous savons sur le lait de vache:

  • Il est difficilement digeste (même s’il ne vous crée aucun problème digestif, votre corps utilise beaucoup d’énergie afin de le dégrader).
  • Contrairement aux idées reçues, il n’apporte pas plus de calcium que certains aliments.
  • Tout comme la viande, il acidifie le corps (selon des études de l’OMS).
  • Il contient des hormones de croissance ainsi que des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques destinés au développement du veau ( il doit atteindre 150kg à 6 mois) donc totalement inadaptés pour l’homme.

Le but de cet article n’est en aucun cas de supprimer le lait de vache mais d’en raisonner sa consommation.
Comment faire:

  • Fromage: pensez au brebis et au chèvre nettement plus digestes.
  • Ne mettez pas de fromage râpé sur tous vos plats ou diminuez en la quantité.
  • Évitez les verres de lait pur le matin ou dans la journée.
  • Incluez le soja dans votre alimentation par l’intermédiaire de yaourts, tofu, miso…
  • Goutez aux autres laits existants, certains laits de soja ne modifie pas le goût de la pâtisserie.

L’idéal est de faire un test de 3 semaines où vous réduirez de moitié votre consommation de lait de vache et d’en mesurer les bénéfices.
Les effets peuvent être divers: diminution des boutons sur le corps ou le visage, des maux de tête, des inflammations chroniques, regain d’énergie, sommeil amélioré…
Ensuite, libre à vous de reprendre votre régime alimentaire classique.
Attention cependant pour les personnes en état de dénutrition (certaines personnes âgées, sevrage de drogue, dépression profonde) qui mange très peu. Il faudra vous faire accompagner par un diététicien si vous voulez modifier vos habitudes alimentaires.

7) Le gluten

Il occasionne les mêmes problèmes que le lait de vache, notamment au niveau de l’assimilation et des douleurs inflammatoires, mais il est nettement plus difficile à réduire tant le blé est partout. Quelques conseils cependant facilement applicables:

  • Privilégiez les farines de blé complet qui s’assimilent mieux. Essayez d’autres farines (épeautre, sarrasin…), qui pourront peut être agréablement vous surprendre!
  • Limitez les tartes et pâtes dans la semaine en réintroduisant d’avantage de légumes pour compenser.
  • Les pâtes au quinoa ou complètes existent et ont beaucoup plus de goût.
  • La baguette sera à consommer avec parcimonie.

De la même manière, essayez de diminuer de moitié votre consommation de gluten pendant 3 semaines et observez les résultats.
Certains bénéfices (notamment si vous souffrez d’inflammations, de problèmes digestifs ou de sensations de gonflement) vous inciteront peut être à prolonger l’expérience.

8) La viande

Tout comme le lait de vache, la viande acidifie fortement le corps. Son ingestion favorise donc des inflammations, certains troubles digestifs ainsi que des problèmes d’acidité gastrique.
Il n’est pas forcément utile de la supprimer mais il suffit d’en consommer raisonnablement. En diététique, on considère que 3 fois dans la semaine est suffisant. Cela donne l’occasion de réintroduire dans notre alimentation le poisson, les œufs, les lentilles et autres protéines végétales.
Il est préférable de manger la viande le midi, moment de la journée où notre repas doit être le plus important.

9) La cuisson des légumes

alimentation variée, équilibrée et raisonnée
Manger 5 fruits et légumes par jour est bon pour la santé. On nous le répète suffisamment pour que cela soit admis par tous. Cependant, on néglige souvent l’importance de la cuisson. Quand on fait bouillir un légume trop longtemps ou qu’on le fait revenir à la poêle à haute température, on le dénature et il perd la plupart de ses composants naturels, bénéfiques à notre corps.
Les cuissons au wok ou à la vapeur doivent être privilégiées car elles préservent au maximum les bienfaits des aliments et donc notre santé.

10) Les ondes

Grand débat de société: les ondes sont partout. On sait qu’elles sont potentiellement dangereuses mais nous pensons ne rien pouvons y faire!  FAUX
Certains gestes simples peuvent facilement être mis en place pour nous préserver un minimum de toutes ces ondes:

  • La nuit, mettez votre portable en mode avion, en dehors du lieu de sommeil.
  • Équipez toutes vos prises sur lesquelles sont branchés vos appareils restant en veille (télé, box…) d’un interrupteur (souvent multiprises) pour pouvoir les couper facilement lorsque vous ne vous en servez pas (notamment la nuit).
  • Ne laissez pas votre box en wifi lorsque ce n’est pas nécessaire.
  • Ne gardez pas votre téléphone dans vos poches ou très proche de vous de manière constante.

 

Conclusion

Les domaines à améliorer ne manquent pas (maquillage naturel, soda-stream pour les boissons gazeuses, pommeau de douche économiseur d’eau…). Certains sont plus coûteux, à l’inverse, d’autres réduiront vos dépenses.
L’important reste d’agir à son rythme afin que le changement soit réfléchi et pérenne.
N’hésitez pas à partager vos expériences par des  commentaires et à faire connaître les forums sensibilisés sur ce domaine. Plus les possibilités et les témoignages seront nombreux, plus vous aiderez de personnes à agir de leur côté!

Où trouver les produits:

De nombreux magasins ou épiceries vendent ces différents articles.
Pour les habitants du pays d’Aix, voici une liste non exhaustive:

N’hésitez pas à compléter la liste dans vos commentaires, elle sera mise à jour aussitôt.


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12/Juin/2017

Partie 1 Cancer: ses origines?

Idées reçues

L’hérédité et l’origine ethnique: pas si influente qu’on ne le croit

Le rôle joué par l’hérédité dans le développement du cancer est beaucoup moins prépondérant que la majorité des gens ne le pense.
Il existe certains gènes défectueux, transmissibles par l’hérédité qui augmentent le risque de certains cancers mais ils demeurent cependant très rares.
Des études sur la comparaison des taux de cancers menées sur des jumeaux identiques (même gènes) et d’autres non identiques (gènes différents) montrent une augmentation maximale de 15%  de certains cancers.
De plus, des études portant sur des enfants adoptés très tôt dans leur vie et leurs parents (adoptifs et biologiques) démontrent que les habitudes de vie (donc avec les parents adoptifs) sont responsables de l’augmentation du risque de développer le même cancer. Celui-ci reste cependant plus rare avec les parents biologiques.
Concernant l’origine ethnique, l’étude des populations migrantes dans différents continents a permis de confirmer que les prédispositions aux différents cancers sont d’avantage liées au mode de vie qu’on ne le pense en général. L’impact de l’origine ethnique en comparaison est minime.
Ainsi, l’ensemble de ces observations indique que seule une minorité des cancers provient de facteurs qui échappent vraiment à notre contrôle.
L’AACR (American Association for Cancer Research) montre que des facteurs directement liés à notre mode de vie sont responsables d’environ 70% des cancers (tabagisme, inactivité physique, surpoids corporel, composition du régime alimentaire, usage immodéré d’alcool et de stupéfiants…)

La formation de tumeurs: pas si rare

Il est important de prendre conscience que la formation de tumeurs est un évènement aléatoire relativement fréquent dans la vie d’un individu.
Des études ont montré qu’une grande proportion de personnes décédées d’une autre cause que le cancer recelait, cachées dans leur tissus, des micro-tumeurs non détectées cliniquement.
alimentation variée, équilibrée et raisonnée
Plus intéressant encore, lors de l’étude par population, nous pouvons voir que le nombre de cellules pré-cancéreuses est le même, ce qui indique que les habitudes de vie (dont l’alimentation) sont déterminantes dans l’évolution de ces cellules en tumeurs avérées.
Ce sont nos défenses naturelles qui permettent à notre corps de maintenir à l’état mircroscopique ces petites tumeurs. Nous verrons par quels moyens l’alimentation joue un rôle prépondérant à ce niveau.

Qu’est-ce qu’un cancer?

La cellule

Pour comprendre le fonctionnement d’une cellule pathologique, il faut d’abord comprendre celui d’une cellule saine.
Il est identique à celui d’une ville où toutes les fonctions essentielles au bien être de la communauté sont réparties dans différents lieux:

  • Le noyau: lieu où sont entreposés les textes de lois (ADN…) qui permettent de guider et adapter son comportement aux différents évènements.
  • Les protéines: main-d’œuvre de la ville assurant le transport, la communication et les transformations nécessaires à l’obtention de l’énergie.
  • La mitochondrie: centrale énergétique de la ville.
  • La membrane plasmique: muraille protectrice autorisant ou non les échanges avec l’extérieur.

La cellule actuelle est le résultat évolutif d’une cellule primitive apparue il y a très longtemps sur terre; ainsi, les mutations successives pour arriver à la cellule d’aujourd’hui montrent que les lois génétiques évoquées ci-dessus ne sont pas immuables. Lorsqu’elle voit un avantage à modifier une loi pour contourner une difficulté, elle le fait. C’est ce qu’on appelle une mutation.

Le travail de groupe

Dans le corps humain, les cellules travaillent en groupe et se spécialisent pour former des tissus qui à leur tour deviennent des organes ou os… L’individualisme est donc remplacé par ce travail de groupe (répartition des taches).  La spécialisation des cellules permet de les rendre plus efficaces, chacune dans leur rôle.
Cependant, certaines d’entre elles tentent de se rebeller. Lorsqu’elles subissent une agression extérieure, elles peuvent muter pour contourner l’obstacle et donc devenir pathogènes. Heureusement, il existe au sein des cellules des règles pour nous protéger d’une aggravation.

Les « lois » cellulaires

  1. Interdiction de se reproduire, hormis pour remplacer une cellule endommagée ou morte.
  2. Interdiction de se maintenir en vie si des dommages sont détectés dans la structure de la cellule, en particulier au sein du noyau. Si ceux-ci sont trop importants, la cellule doit s’autodétruire.

Avec ces deux lois, le corps doit pouvoir maintenir un équilibre optimal au sein des cellules et un bon fonctionnement de groupe.

Étapes du développement d’une tumeur

Il faut comprendre les paramètres de chacune des étapes du développement d’une tumeur pour pouvoir intervenir.
On recense trois grandes étapes:

1) La mutation

Étape initiale où une première mutation apparaît dans l’ADN d’une cellule. Elle est souvent provoquée par des agressions extérieures (rayons UV, cigarettes, certains virus…), par des erreurs spontanées lors du renouvellement cellulaire ou encore par un défaut génétique héréditaire.
A ce stade (hormis pour quelques cancers pédiatriques), les cellules ne sont pas jugées cancéreuses. Elles ont cependant le potentiel d’évoluer en tumeur en cas d’exposition prolongée ou de présence d’un facteur de promotion leur permettant de poursuivre leur développement.

2) La promotion (ou le contournement)

La cellule à ce stade contourne les lois 1 et 2 mentionnées précédemment. Elle libère généralement une grande quantité de protéines pour se développer de façon autonome et se débarrasse de celles responsables de l’application de la 2eme règle (sa destruction).
Cela aboutit à un développement incontrôlé et désordonné de la cellule. Cependant, cette étape est compliquée et très longue (1 à 40 ans) car de nombreuses mutations sont nécessaires.
Bien que tous les facteurs favorisant cette désobéissance demeurent méconnus, les facteurs de croissances, les taux de radicaux libres ainsi que certaines hormones participent à cette étape. Nous verrons dans la partie 2 que plusieurs d’entre eux pouvant être contrôlés par l’alimentation et les habitudes de vies sont susceptibles d’agir positivement et contraindre la future tumeur à rester à ce stade précoce.

3) La prolifération

Phase durant laquelle les tumeurs envahissent le tissus voire même se répandent alentours sous forme de métastases.
A ce stade, les cellules cancéreuses possèdent des caractéristiques qui leur sont propres:

  • Croissance anarchique: elles se reproduisent sans avoir besoin de signaux biochimiques.
  • Refus d’obéir aux ordres d’arrêt de prolifération et d’apoptose (de suicide).
  • Capacité d’angiogenèse (formation de nouveaux vaisseaux sanguins) pour s’auto-approvisionner en oxygène et nourriture nécessaires à sa croissance.
  • Capacité de coloniser les tissus environnants sous forme de métastases.

Le développement du tissus cancéreux est donc dans un premier temps silencieux et long nous ouvrant une fenêtre d’intervention importante pour agir en prévention.
La compréhension de toutes ces phases est primordiale pour réellement intégrer la manière d’intervenir sur les cellules par le biais de notre alimentation.
La cellule cancéreuse peut être assimilée à une graine dans du terreau. Dans la deuxième partie de l’article, nous verrons comment rendre le terreau le moins favorable possible à la croissance tumorale.

A venir: Part 2: Quels aliments pour quels effets?


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14/Mai/2017

Ca se passe à Biver et à la Penne sur Huveaune

Un mercredi et un samedi par mois, des ostéopathes de l’association Enfants Handicapés Espoir Ostéopathie (EHEO) se réunissent le matin pour traiter bénévolement vos enfants atteints de troubles mentaux ou physiques. Le but est d’assurer un suivi ostéopathique à moindre coûts afin d’améliorer leur quotidien, les aider à évoluer au mieux malgré leurs difficultés.
Les consultations se passent à la mairie annexe de Biver le 1er mercredi du mois et à la Penne sur Huveaune le premier samedi.

Pour tous les enfants de la Communauté du Pays d’Aix

Il vous suffit de nous contacter:

  • soit par mail: e.h.e.o.provence@free.fr
  • soit par téléphone: 07 68 12 22 63

Nous acceptons les enfants jusqu’à 20 ans quel que soit leur handicap.

Des traitements doux et adaptés

Les séances sont douces et adaptées aux enfants afin qu’ils se sentent en confiance et puissent se laisser aller au mieux. Un petit temps d’adaptation peut être parfois nécessaire pour faire accepter le contact du corps pour certains types de handicap (tel que l’autisme par exemple).
Le travail peut se faire à plusieurs praticiens de manière à maximiser les bienfaits des séances et réduire le temps de la consultation (pour que l’enfant ne s’impatiente pas).

Article paru dans la provence le 12/04/2017
Osteo handicap

N’hésitez pas a me contacter pour toutes informations complémentaires ou à passer nous voir:  Mairie annexe de Biver: Place de Biver 13120 Gardanne


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12/Oct/2016

Le titane est moins connu que ses homologues: mercure, aluminium et plomb, mais il n’en demeure pas moins tout aussi toxique lorsqu’il est présent dans le corps humain en quantité trop importante.

On le retrouve sous forme de dioxyde de titane ou oxyde de titane composé d’oxygène et de titane (ou TIO2). On lui donne des noms différents selon les secteurs d’utilisation.

Entre 10 000 et 100 000 tonnes de nanoparticules de dioxyde de titane ont été déclarées produites et/ou importées en France en 2013.

Comment reconnaître le Dioxyde de Titane?

Il possède des propriétés opacifiantes, colorantes (blanc immaculé), anti-uv et absorbantes d’UV. En clair, dés qu’un produit doit être plus blanc que blanc ou que l’on cherche à éviter les effets du soleil, il n’est souvent pas loin.

Dans l’alimentaire il est connu sous le nom de colorant E171 et dans la cosmétique: CI77891. On le retrouvera aussi sous le nom de Dioxyde de Titane ou Titanium Dioxyde.

Ses domaines d’utilisations

Travaux

Papeterie, peinture, plastique, céramique…

Aliments, boissons et emballages

Fromages industriels, pâtisseries industriels, chewing-gums, confiseries, sodas…

Soins

Produits d’hygiène, savons, dentifrices, crèmes cosmétiques, crèmes solaires…
Exemple de cosmétiques contenant du TIO2

Santé

Coloration et texture de nombreux médicaments en gélules ou excipient pour les vaccins.

Effets sur l’homme

Depuis 2006, il est classé comme  un possible cancérigène par le CIRC (Centre International de Recherche contre le Cancer).

Des études portant sur des rats ont démontré qu’en concentration trop importante, il provoquait :

  • Diminution de l’immunité.
  • Inflammation pulmonaire chronique.
  • Saturation de la clairance pulmonaire (capacité du poumon à nettoyer le sang).
  • Prolifération anarchique de cellules (pouvant favoriser les cancers).
  • Destruction de tissus pulmonaires avec fibrose .

Le CNAM (Centre National des Arts et Métiers) lors de son nano forum de 2008 s’inquiétait de la présence de la molécule dans les peintures et le ciment redoutant notamment :

  • Des maladies auto-immunes.
  • Des accumulations associées à une altération au niveau du foie.
  • Des accidents au contact de produits d’écho-contraste (lors de radio etc…).

En 2008 également, une étude franco-suisse sur des cellules humaines a mis en évidence son caractère inflammatoire au niveau pulmonaire et péritonéal (enveloppe de la loge digestive) laissant ainsi supposer les effets cancérigènes du produit.

Le professeur Jürg Tschopp qui pilotait l’étude explique que cette molécule a les mêmes effets toxiques que l’amiante.

Que faire?

Ce produit est omniprésent dans de trop nombreux secteurs pour pouvoir l’éliminer totalement de nos vies. Cependant nous pouvons tout de même agir.

Il faut impérativement vérifier que les produits que vous utilisez au quotidien n’en contiennent pas : en priorité le dentifrice,  le déodorant ou tout produit que vous ingérez  ou que vous pouvez inhaler. A surveiller également, vos crèmes quotidiennes et solaires. Les enfants ont une peau plus fine et perméable que la nôtre, redoublez de vigilance pour les crèmes que vous leurs appliquez.

Si vous avez des symptômes pulmonaires ou digestifs inexpliqués qui s’atténuent à la suite de ses précautions, n’hésitez pas à contacter votre médecin pour lui en parler (certains examens peuvent montrer la présence de dioxyde de titane notamment au niveau des glandes salivaires en cas d’ingestion à répétition).

Dans un second temps, un homéopathe ou ostéopathe pratiquant la détoxication homéopathique vous aidera à nettoyer votre corps du titane.

N’hésitez pas à me contacter pour trouver des thérapeutes compétents en détoxication homéopathique dans votre région.

Annexes:


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20/Mai/2016

Quand parle-t-on d’infertilité ou d’infécondité?

L’existence d’une stérilité est définie par l’impossibilité pour un couple ayant régulièrement des relations sexuelles non protégées d’avoir un enfant en 2 ans.

Longtemps considérée comme uniquement féminine, nous savons maintenant que dans environ 30% des cas, l’homme en est responsable.

De nombreux examens médicaux vont être alors pratiqués pour comprendre les véritables causes. Pour la femme, elles peuvent être mécaniques (propres aux organes nécessaires à la fécondation et la nidation de l’ovule) ou chimiques (en lien avec les différentes hormones sexuelles nécessaires à l’obtention des conditions optimales pour la procréation).

Chez l’homme, les troubles viennent essentiellement du sperme, qualitativement ou quantitativement.

En revanche, pour 10% des couples, l’infertilité ne trouve pas de cause.

Plus littéralement, on parle d’infécondité (involontaire) quand une personne ou un couple n’a pas la possibilité de féconder, c’est à dire que la gamète mâle ne féconde pas la gamète femelle.

L’infertilité désigne de manière plus générale l’impossibilité d’accéder à la grossesse.

La stérilité masculine ou féminine est un mot employé pour un état établi comme définitif par le corps médical.

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Diagnostic d’infertilité mécanique ou chimique

Une fois la difficulté à procréer avérée, une batterie de tests sera pratiquée le plus souvent en priorité chez la femme: une prise de sang, notamment pour l’hormone AMH (anti mulerienne) traduisant la réserve ovarienne disponible, un dosage des différentes hormones concernées, un bilan des ovaires,des trompes et de l’utérus… Ce processus est pénible mais incontournable pour préciser, s’il y en a, les éléments responsables de l’infertilité et donc isoler une cause plutôt mécanique ou hormonale.

L’homme, de son côté, va essentiellement effectuer un spermogramme ou analyse du sperme. D’autres examens pourront être mis en place en cas de résultats mitigés dans le but de déterminer d’où vient la faiblesse au niveau de la qualité du sperme.

 

L’ostéopathie pour l’infertilité

Chez la femme:

Trois grands pôles peuvent être déterminés bien qu’ils soient sans cesse en corrélation et que le traitement ostéopathique reste global.

Stress

La peur de l’infertilité, les nombreuses tentatives naturelles ou médicales, les éventuelles fausses couches, sont autant de sources de stress pour la patiente.

Les tensions engendrées au niveau du corps peuvent être responsables de douleurs ou de blocages, même organiques, potentiellement défavorable à la conception. Le traitement sur les conséquences de ce stress vont permettre une détente et un relâchement bénéfiques aux futures tentatives. Les glandes responsables des sécrétions hormonales liées à ce stress ( surrénales pour l’adrénaline par exemple) seront aussi à investiguer de manière à rééquilibrer au mieux le corps au niveau mécanique, organique mais aussi chimique.

Parfois, le fait de ne plus se concentrer sur la procréation pendant une période est un déclencheur qui facilite celle-ci.

Mobilité organique

Une perte de mobilité des organes participant à la fécondation est un facteur fortement défavorable à l’ovulation, la fécondation ainsi que la nidation. En premier lieu, le contenant (ici le bassin, le petit bassin ainsi que les lombaires basses) doit être parfaitement libre de manière à ne pas limiter la mobilité des organes qu’il contient. Les organes eux même devront avoir une mobilité optimale pour favoriser les différentes tentatives. Dans certains cas, le problème est identifié « organique » comme par exemple des ovaires polykystiques ne permettant pas ou peu l’ovulation. Notre rôle sera ici de tendre, au maximum des possibilités du corps de la patiente, vers un environnement le plus favorable possible afin de limiter les effets des kystes ovariens.

Travail sur la régulation hormonale

Les hormones responsables des différentes étapes de la fécondation sont aussi essentielles que les organes sur lesquels elles agissent. Les différentes glandes dont elles sont issues devront donc être investiguées par l’ostéopathe de manière à favoriser un équilibre de ces hormones et ainsi d’optimiser les tentatives du couple.

Chez l’homme:

Le traitement ostéopathique chez celui-ci va surtout cibler l’équilibre hormonal de la testostérone ainsi que la libération du bassin et du petit bassin.

Pour les mêmes raisons que citées précédemment, les  zones liées au stress seront également investiguées.

F.I.V, traitement hormonal, insémination artificielle et traitement ostéopathique

Dans quel but ?

L’ostéopathie va permettre à la patiente pratiquant une FIV, une insémination ou suivant un traitement hormonal, de préparer au mieux son corps pour optimiser les conditions de réussite.

Au niveau mécanique, le bassin  et les lombaires doivent être libérés de leurs tensions de manière à ne pas entraver le bon fonctionnement des organes du petit bassin.

De même, la bonne mobilité de ces organes, ainsi que ceux environnants, est primordiale.

L’équilibre des pressions entre les différents caissons du corps (thoracique, viscéral et périnéal) vise à rétablir une respiration plus globale nécessaire au fonctionnement optimal des organes qu’ils contiennent.

De plus, un travail sur les zones régulant les différentes hormones intervenant dans le processus (ovaires, base du crâne …) va avoir pour but de les réguler afin qu’elles jouent au mieux leurs rôles lors du traitement.
Enfin, le stress étant souvent très présent dans ce processus, un travail au niveau de la somatisation est nécessaire pour apaiser au mieux la patiente par rapport au contexte.
Le travail ostéopathique est global, ces éléments ne sont donc qu’une mise en avant de zones primordiales à investiguer.

Pour le traitement hormonal, une attention particulière sera portée sur les différentes glandes intervenant dans le processus de fécondation telles que les ovaires,  l’hypothalamus et l’hypophyse (base du crane).

Quand intervenir ?

Le traitement ostéopathique doit être pratiqué à distance de ces différents traitements afin de favoriser  les effets bénéfiques et la réequilibration du corps. En général, celui-ci, pratiqué une à deux semaines avant, optimise les résultats.

Ensuite, votre ostéopathe vous guidera sur la fréquence et le besoin éventuel d’autres séances.


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23/Nov/2015

La question de la literie revient souvent dans les cas de douleurs chroniques cervicales et/ou lombaires. Mon matelas est-il trop vieux? Mon oreiller trop mou?

Faut-il payer plus cher pour avoir mieux? Pas forcément. Le prix n’est pas toujours gage de qualité, il faut cependant comprendre les enjeux d’une bonne literie de manière à répondre au mieux à nos besoins.

Matelas: Mou ou dur?

Plus un matelas vieillit, plus il se déforme et s’affaisse. Il faut donc vérifier dans un premier temps qu’il ne s’est pas creusé, ce qui pourrait empêcher une position idéale pour une bonne nuit.
La raideur du matelas dépend aussi de votre position pour dormir ) et de l’importance de vos courbures dorsales (en accord avec votre conjoint).
Si vous avez l’habitude de dormir sur le côté, un matelas légèrement plus mou sera intéressant de manière à conserver le plus possible la colonne dans l’axe.
De même si vous possédez des courbures importantes (cyphose dorsale et lordose lombaire), ce type de matelas permettra un maximum de soutien au niveau de vos muscles dorsaux.
Si vous dormez sur le ventre ou le dos et que votre colonne est plutôt droite (ou raide), un matelas plus dur constituera dans votre cas un meilleur soutien.

Remarques:

  • Il ne faut pas confondre un matelas plus mou et usé, c’est la possibilité de vous relâcher complétement une fois allongé qui vous donnera cette information. Un matelas usé se comportera différemment, il se comprimera complètement vous donnant ensuite cette impression de dureté correspondant au sol ou au sommier.
  • Les types de matelas et de sommiers seront donc à étudier selon deux points: leur confort et leur durée de vie.

Oreillers: Mémoire de forme? Ergonomiques?

La position préférentielle lors du sommeil va être un indicateur important dans la recherche de l’oreiller idéal. Deux points sont primordiaux: lorsque vous êtes allongé, il faut que votre tête reste au maximum dans l’axe de votre corps et que votre cou ait un soutien efficace pour le relâchement musculaire.

Sur le Dos

Il faudra que l’oreiller ne soit pas trop gonflé pour ne pas entraîner une flexion de tête. Il devra cependant descendre jusqu’au cou pour pouvoir reposer les muscles de la nuque.

Sur le côté

L’oreiller, une fois votre tête en appui dessus, devra garder au maximum la tête droite (pas d’inclinaison à droite ou à gauche) car cela étirerait les muscles du cou et pourrait créer des douleurs au réveil voire un torticolis. Si besoin, mettez plusieurs coussins pour obtenir ce résultat. Pensez à le mettre également au niveau de la partie latérale du cou pour un relâchement maximal.

Sur le ventre

C’est la position la plus inconfortable pour la tête car elle entraîne obligatoirement une rotation de la tête d’un côté. Un coussin ne sera nécessaire qu’en cas de musculature ou d’embonpoint important au niveau du ventre et du thorax pour éviter que la tête ne soit inclinée vers le matelas.

Remarques:

  • Chaque morphologie est différente. La grosseur et le poids de la tête est très variable d’une personne à l’autre. Un oreiller mémoire de forme pourra donc être parfaitement adapté pour une personne et complètement inconfortable pour une autre.
  • En ce qui concerne la posture lors de votre sommeil, le plus simple reste l’observation par un tiers lorsque vous êtes allongé. Il pourra vous renseigner sur votre position en complet relâchement et donc vous guider sur le besoin de changer ou pas votre literie (matelas et/ou oreillers).
  • Le meilleur indicateur est souvent votre ressenti en phase d’endormissement. Apprenez à écouter votre corps et à le relâcher dans son ensemble. Vos sensations vous donneront les réponses attendues.

Autre article sur le sujet: Les troubles du sommeil, les comprendre pour agir


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23/Nov/2015

Lors de trajets répétés ou de longue durée, un certain nombre de précautions sont à mettre en place pour éviter de mauvaises surprises à l’arrivée.
Cela concerne à la fois l’avion, le train ou la voiture (en conducteur et passager).

D’où vient le mal de dos après un trajet?

Ce sont les vibrations entraînées par ces différents moyens de transport qui sont responsables d’une grande partie de vos douleurs. Les contractions musculaires provoquées par votre position (ainsi que des raideurs dues au stress ou à des douleurs ultérieures au voyage) vont amplifier les effets vibratoires du trajet. Les parties du corps les plus sensibles seront le bas du dos (bassin et lombaires) et le cou (cervicales).
Les muscles contractés vont durant tout le voyage subir ces vibrations. Ils vont donc se contracter davantage, provoquant ainsi un cercle vicieux, et créer une inflammation sur la zone. Plus la zone est fragilisée en amont (arthrose, douleurs résiduelles…), plus l’effet sera majoré.

Comment adapté sa posture?

Vous allez devoir maintenir la position assise pendant plusieurs heures: n’hésitez pas à prendre le temps de bien régler votre siège. Votre courbure lombaire doit être appuyée sur un renfort. Si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à mettre un coussin, un gilet ou toute autre chose faisant office d’appui. Si vous ne vous sentez toujours pas relâché, faites une bascule du bassin en arrière de manière à bien plaquer vos lombaires contre le siège et donc bien détendre vos muscles du dorsaux.
Si vous êtes stressé en tant que conducteur ou par la peur du train ou de l’avion, soufflez bien et essayez de relâcher au maximum vos épaules vers le bas. Si vous ne conduisez pas, vous pouvez aménager le même appui que précédemment pour vos cervicales.

Remarques

  • N’hésitez pas à faire une pause toutes les deux heures pour vous détendre (ou vous lever dans le train ou l’avion).
  • Si vous partez loin et que vous êtes sujet aux douleurs de dos, pensez à emmener une bouillotte avec vous  pour aider au relâchement musculaire à l’arrivée.
  • Si vous avez froid au bas du dos ou au cou pendant le trajet, couvrez vous d’un foulard ou d’un petit pull pour ne pas favoriser les contractures.

Article en lien: Ergonomie au bureau


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23/Nov/2015

L’ergonomie correspond à l’optimisation du milieu de travail de manière à préserver l’employé et améliorer son bien être et son rendement. C’est une spécialité à part entière mais quelques conseils peuvent cependant vous aider.
Certaines précautions sont à prendre en compte. La posture au travail est primordiale car elle va être tenue de longues heures. Un déséquilibre va donc entraîner d’avantage de compensations et blocages qu’une mauvaise posture ponctuelle.

La chaise

Elle doit être renforcée  au niveau de la colonne lombaire de manière à épouser la courbure du bas de la colonne. Un coussin peut être rajouté dans le cas contraire.
Il faudra cependant penser à bien reposer son dos et ne pas rester en dehors de l’appui de la chaise toute la journée.

L’ordinateur

Il doit être en face de soi pour éviter la même rotation cervicale toute la journée. Si possible l’écran doit être placé à hauteur des yeux ou légèrement plus bas.
Le but est que la tête soit la plus droite possible.

Les coudes

Ils doivent être posés sur le bureau si vous êtes sur l’ordinateur (souris et/ou clavier) de manière à reposer les muscles des membres supérieurs ainsi que ceux du dos et du cou pour éviter les tensions.

La souris d’ordinateur

Elle doit être si possible sans fil. Il en existe certaines spécialement étudiées et pas trop onéreuses (pas plus de 30 euros). Si vous utilisez souvent l’ordinateur ou si vous êtes sujet aux tendinites du poignet ou des doigts, cela peut être intéressant. Essayez-les en magasins avant de les acheter.
Il existe aussi des tapis de souris avec appui pour le poignet pour reposer au mieux le bras durant l’activité.

Le clavier

Il doit être suffisamment avancé pour laisser reposer les avant bras sur la table. De plus, un appui au niveau des poignets relâchera la globalité du membre supérieur. Certains accessoires facilitent sa mise en place.

Le téléphone

Il doit au maximum être associé à un casque lors d’appels  réguliers. Le but est de limiter les mouvements répétés et le maintien du combiné par le bras (ou juste la tête pour les plus agiles) toujours du même côté.
Il est évident que toutes ces dispositions ne sont pas aisées à mettre en place dans toutes les entreprises. Si vous pouvez en adapter quelques-unes, cela pourrait cependant améliorer grandement votre quotidien.
Enfin, il faut être attentif à l’installation de gênes ou de petites douleurs de manière chronique. Une séance d’ostéopathie vous aidera à vous en débarrasser afin de conserver votre forme et votre rendement. Cela évitera une aggravation qui entraînerait éventuellement un arrêt de travail et une récupération plus compliquée.
Autre article sur le sujet: Précautions pour les longs trajets (voiture, train,avion)


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23/Nov/2015

Insomnies, réveils fréquents, fatigue permanente…

Le terme « trouble du sommeil » regroupe plusieurs symptômes que l’on a tendance à mélanger. Pourtant, chacun d’entre eux nous apporte une compréhension différente de notre problème et donc des possibilités de le traiter.

  • Insomnies

Le nombre d’heures de sommeil est variable d’un individu à l’autre. Il est compris normalement entre 4 et 12h. On qualifie d’insomniaque un patient qui a une baisse significative de quantité ou de qualité de son sommeil habituel. Certains effets seront ressentis dans la journée (grosse fatigue, perte de concentration…). C’est la notion de changement qui est ici importante. Il faudra essayer d’en identifier les causes pour y remédier.

  • Endormissement difficile

La phase d’endormissement est primordiale. L’état de pré-conscience nécessaire se traduisant d’abord par des bâillements puis par des engourdissements et un état de somnolence, peut être perturbé par plusieurs paramètres. Le stress en est l’un des principaux (ressassement de la journée, des objectifs du lendemain et d’inquiétudes diverses…). Un mauvais conditionnement préalable peut être nocif à l’arrivée dans le sommeil (télévision, ordinateur, tablette, téléphone juste avant le coucher, repas trop lourd ou trop proche de celui-ci, température trop chaude dans la pièce, bruits importants).

  • Réveils fréquents

Pour quelles raisons se réveille-t-on la nuit ?

  1. Envie d’uriner à répétition.
  2. Douleurs.
  3. Perte de sensibilité dans un membre due à une mauvaise position.
  4. Cauchemars.
  5. Bruits.
  6. Aucune raison apparente.

A quel moment du sommeil?

  1. Systématiquement entre 1 et 3h du matin.
  2. Toutes les 1h30.
  3. 1 à 2h avant le réveil.
  4. De manière aléatoire.
  • Fatigue inexpliquée

Certaines personnes dorment « comme des bébés » et ne sont pourtant jamais reposées. Cette fatigue inexpliquée doit être approfondie. Il faut comprendre d’où elle vient et si une pathologie plus importante n’est pas sous-jacente. Certains traumatismes (physiques ou émotionnels) peuvent altérer la récupération du corps. L’apnée du sommeil peut également être responsable d’un cycle de sommeil perturbé et donc moins réparateur.
Nous allons étudier les différentes étapes d’une nuit de sommeil pour comprendre la manière dont nous récupérons réellement.

Les cycles du sommeil

Un cycle de sommeil est constitué de plusieurs phases (sommeil léger, profond, très profond et paradoxal). Il se produit plusieurs cycles de sommeil dans une même nuit. Les trois premières phases correspondent à un sommeil dit « lent » et de plus en plus profond. La phase paradoxale indique un sommeil plus agité avec apparition des rêves. A la fin de celle-ci, le dormeur peut repartir dans un cycle de sommeil ou se réveiller.
Ce sont les phases de sommeil profond et très profond qui sont responsables de la récupération du patient. Elles sont davantage présentes dans la première moitié de la nuit au détriment de la phase paradoxale. celle-ci prédomine en deuxième partie de nuit, en lien avec l’augmentation de la température corporelle à partir de 3h du matin. Votre temps de sommeil n’est donc pas un bon indicateur de votre récupération.
Les phases de sommeil profond et très profond sont plus importantes chez les sportifs et les enfants. Donc pour mieux dormir, remettez-vous au sport ou retombez en enfance…

Le cercle vicieux médicamenteux

Pourquoi les sportifs et les enfants ont-ils des phases de sommeil profond plus importantes?
Les médiateurs chimiques responsables du sommeil sont produits durant la phase d’éveil. Plus clairement: il faut avoir été bien éveillé dans la journée pour bien dormir. Par conséquent toutes les substances altérant la qualité de l’éveil (drogues, alcools, tranquillisants…) détériorent la qualité du sommeil en réduisant la synthèse de ses médiateurs.
Un somnifère, par son effet résiduel de somnolence dans la journée, altérera le sommeil du patient qui ressentira le besoin de renouveler sa prise… Nous entrons donc dans un cercle vicieux médicamenteux. Le patient insomniaque est convaincu qu’il dort « grâce » à une substance qui en réalité dégrade son sommeil et ses performances dans la journée. Cette prise de conscience est essentielle si l’on veut se sevrer des somnifères.

La sieste thérapeutique

Elle est utile mais doit obéir à certaines règles découlant de ce que nous avons vu précédemment :

  • Elle ne doit pas dépasser une vingtaine de minutes pour ne pas rentrer en sommeil profond.
  • Elle ne doit pas intervenir trop tardivement dans la journée car cela risquerait de compromettre l’endormissement le soir.

Un besoin trop important de sieste peut cacher une fatigue inexpliquée. Si cela persiste, parlez-en à votre thérapeute.

Conclusion: pour bien dormir…

  • Faites du sport et soyez actifs dans la journée.
  • Respectez des horaires de couchers et de levers réguliers.
  • Ne dinez pas trop lourd ni trop tard.
  • Privilégiez une période calme avant de vous coucher (pas de télévision, portable, tablette, ordinateur, pas de sport 1h avant le coucher).
  • Ne vous couchez pas trop tard (on récupère beaucoup moins après 3h du matin).
  • Ne surchauffez pas votre chambre.
  • Prévoyez de vous sevrer progressivement des somnifères.
  • N’abusez pas du nombre et de la durée des siestes.
  • Et le plus important: consultez votre ostéopathe !

Autre article sur le sujet: Oreillers, matelas, sont-ils réellement adaptés?


Tom HURÉ

Ostéopathe D.O
Du nourrisson à l’adulte

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